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Montréal est réputée pour être une ville de savoir, elle possède des établissements d'enseignement de renommée internationale. La métropole compte à elle toute seule 4 universités francophones et anglophones avec d'autres types d'établissements d'enseignement supérieur. La ville regroupe 5 commissions scolaires 14 collèges et 6 écoles d'art.

On dit qu’effectuer des études à Montréal, c'est vivre une expérience académique et culturelle unique. La renommée internationale de ses établissements d'enseignement fait que chaque année, elle accueille plus de 18 000 étudiants étrangers en provenance de 150 pays.

Le principal site Internet de référence dans le domaine des études à Montréal est Etudieramontreal.info. On peut y trouver toutes les informations utiles sur l'enseignement à Montréal à savoir les commissions scolaires, les principaux cégeps, et les principaux établissements universitaires.

Les commissions scolaires ont comme rôle d'organiser les écoles et la prestation des services éducatifs du primaire au secondaire, généraux comme professionnels, aux enfants comme aux adultes.

Elles sont au nombre de cinq à Montréal : commission scolaire de la Pointe-de-l'Ile, de Montréal, de English-Montréal, de Lester B. Pearson et de Marguerite-Bourgeoys.

Elles ont respectivement un site qui détermine sa mission à savoir assurer à la population l’accès à des services éducatifs de qualité et diversifiés afin de répondre aux besoins de chacun. Chaque site de la commission scolaire permet la visibilité de tous les établissements d'enseignement se trouvant dans son territoire.

Quant aux écoles d'art, il y en existe 6 à Montréal. Il y a deux conservatoires de danse puis de musique et d'art dramatique, deux écoles nationales, de l'humour et du théâtre, une école supérieure de ballet contemporain et une école de danse contemporaine.

Les collèges publics sont officiellement nommés collèges d'enseignement général et professionnel, dont l'acronyme cégep est devenu un mot commun.

Au Québec, les cégeps remplacent depuis 1967 toute une série d'écoles et de collèges (y compris les collèges classiques), autrefois autonomes dont le rapport est de se situer entre le niveau secondaire et l'université.

Les principaux cégeps à Montréal sont au nombre de 14, on peut trouver le cégep André-Laurendeau, du Saint-Laurent, du vieux Montréal, Marie Victorin, le collège Ahuntsic, de Bois de Boulogne, de Maisonneuve, de Rosemont, Gerald-Godin, la Salle, Dawson collège, John Abbott collège, Vanier collège, Institut de tourisme et d'hôtellerie de Québec.

On y trouve 4 universités : Concordia, de Montréal, du Québec à Montréal, McGill. Il y a 3 écoles, de technologie, d'administration publique et polytechnique. À tout cela s'ajoutent le HEC de Montréal, l'institut national de la recherche scientifique (INRS) et la télé-université.

L'échec scolaire est un des facteurs qui entraîne la déscolarisation en Afrique, quelques pistes de réflexion sont proposées dans cet article, afin de mieux comprendre les causes de cette déperdition.

Le constat

Malgré le progrès accompli dans le domaine de la scolarisation en Afrique, le rap­port de l'UNESCO montre que 50 mil­lions d’en­fants ne se­ront tou­jours pas sco­la­ri­sés d’ici à 2015 sur le conti­nent et des mil­lions d’autres aban­donnent l’école avant de ter­mi­ner leur cycle pri­maire.

Les causes de l'échec attestées jusqu'à présent

L'échec scolaire est une des sources de cette déscolarisation. De nombreux chercheurs et spécialistes ont essayé de déterminer les causes de cette déperdition afin d'y apporter des solutions concrètes, cependant, jusqu'à présent le monde de l'éducation se heurte à un mur. La communauté scientifique penche plutôt ses théories sur l'échec scolaire des enfants, mais selon quelques recherches récentes, la qualité de la formation des enseignants compte beaucoup dans cet échec.

Recherches récentes

Citons l'exemple de l'école de formation des enseignants à Madagascar, une recherche a démontré qu'entre 1986-1990 le taux de réussite même de la formation est de 36% au bout de 5 années d'études. Les causes attestées à cet échec est le déséquilibre entre le volet académique et le volet professionnel de la formation.

Conséquences

Les élèves-enseignants n'ont pas eu assez de pratique pour aborder l'enseignement, ainsi quand ils arrivent dans leur milieu de travail, ils ne réussissent pas à rendre effectives les théories qu'ils ont apprises dans leur école de formation. La déperdition scolaire survient plus tard vu l'inexpérience de l'enseignant.

Autre raison de l'échec scolaire

L'autre cas concernant l'enseignant est le fait que les bailleurs de fond privilégient en Afrique le recrutement des professeurs qui n'ont aucune qualification pour enseigner mais à qui l'on donne quelques stages de formation de quelques semaines. Ces types d'enseignants se heurtent à de grandes difficultés quand ils enseignent car ils ne sont pas du tout préparés à être confrontés à l'acte d'enseigner, dans ce cas ce sont encore les élèves qui en sont victimes.

Piste de recherche

Une autre piste de recherche aussi est à explorer : celle de l'élaboration du programme scolaire qui est non adapté à la réalité des pays en Afrique. Les élèves ont des difficultés à suivre un programme enseigné dans une langue qui n'est pas la leur, ainsi que des matières qui ne correspondent pas à leur mode de vie.